Les numéros de Nouvelles de danse
Nouvelles de Danse n°79
Janvier 2021
Une enquête coordonnée par Alexia Psarolis, avec les contributions de Wilson Le Personnic, Marie Baudet, Rosita Boisseau et Sarah Colasse
Nouvelles de Danse n°65
Janvier 2016
Dossier : Les blessures de la danse, Pratique : La discipline du mouvement authentique, Regard : Phasmes de Fré Werbrouck
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Agenda des spetacles
Tout les événementsDans un monde où nous pensons être libres, où tout semble normal et où tout geste devient éphémère, sommes-nous libres de penser par nous-mêmes ?
Blind dénonce l’aveuglement conscient et inconscient des citoyen·nes, nourri par un système générateur de désirs inatteignables. Cinq danseur·ses – de Belgique, d’Espagne, de France et du Sénégal – font face à une même histoire dans différents endroits du monde. Charriant son propre vécu, chacun·e réagit à sa façon. Empreinte de spiritualité, la danse Krump agit comme exutoire de leurs émotions, véritable moyen d’exprimer leur identité profonde, de cultiver leur patrimoine.
05. April
Dans un monde où nous pensons être libres, où tout semble normal et où tout geste devient éphémère, sommes-nous libres de penser par nous-mêmes ?
Blind dénonce l’aveuglement conscient et inconscient des citoyen·nes, nourri par un système générateur de désirs inatteignables. Cinq danseur·ses – de Belgique, d’Espagne, de France et du Sénégal – font face à une même histoire dans différents endroits du monde. Charriant son propre vécu, chacun·e réagit à sa façon. Empreinte de spiritualité, la danse Krump agit comme exutoire de leurs émotions, véritable moyen d’exprimer leur identité profonde, de cultiver leur patrimoine.
Le festival bruxellois Trouble, biennale internationale de performance, est de retour pour une treizième édition.
Si ses ingrédients changent à chaque fois, pas sa recette ! Priorité aux points de vue périphériques ou marginaux, place aux artistes de toutes les générations, aux déplacements de l’assistance, à l’inversion des codes et au mélange des genres. Entre projets de quartier en miroir du monde et regards exotiques qui décapent le nôtre. Au Studio Thor, dans les lieux les plus improbables, et chez des partenaires qui ont le goût et l’audace de la performance… comme la Balsamine.
Pour une expérience artistique éphémère, intense et unique. Pour former, le temps d’une performance, d’une soirée ou d’une semaine, une communauté inopinée, qui prend le risque de l’art, et cultive l’art du risque.
15. April – 19. April
Le festival bruxellois Trouble, biennale internationale de performance, est de retour pour une treizième édition.
Si ses ingrédients changent à chaque fois, pas sa recette ! Priorité aux points de vue périphériques ou marginaux, place aux artistes de toutes les générations, aux déplacements de l’assistance, à l’inversion des codes et au mélange des genres. Entre projets de quartier en miroir du monde et regards exotiques qui décapent le nôtre. Au Studio Thor, dans les lieux les plus improbables, et chez des partenaires qui ont le goût et l’audace de la performance… comme la Balsamine.
Pour une expérience artistique éphémère, intense et unique. Pour former, le temps d’une performance, d’une soirée ou d’une semaine, une communauté inopinée, qui prend le risque de l’art, et cultive l’art du risque.
Les Bygones sont les êtres qui occupèrent le terrain dans le lointain passé, façon habitants des limbes. Des créatures surnaturelles façonnées dans les marges de la forme et de l’informe, qui font corps avec les choses mais à qui les choses finissent toujours par échapper et vivre leur vie propre…
Ce monde instable et hanté où tout semble fortuit et nécessaire ne résiste pas aux poussées de la volonté ni à l’énergie du désir : les Bygones surgissent tout contrefaits de l’ombre et se muent en virtuoses du mouvement, créant d’impressionnants duos, des moments de groupe où les corps se désarticulent avec grâce dans un dialogue inventif avec la lumière. Dans ce spectacle où tout fait image et sensation, Tiffany Tregarthen et David Raymond composent une véritable ode aux forces invisibles où le mystère le dispute à la fantaisie.
25. August – 27. August
Les Bygones sont les êtres qui occupèrent le terrain dans le lointain passé, façon habitants des limbes. Des créatures surnaturelles façonnées dans les marges de la forme et de l’informe, qui font corps avec les choses mais à qui les choses finissent toujours par échapper et vivre leur vie propre…
Ce monde instable et hanté où tout semble fortuit et nécessaire ne résiste pas aux poussées de la volonté ni à l’énergie du désir : les Bygones surgissent tout contrefaits de l’ombre et se muent en virtuoses du mouvement, créant d’impressionnants duos, des moments de groupe où les corps se désarticulent avec grâce dans un dialogue inventif avec la lumière. Dans ce spectacle où tout fait image et sensation, Tiffany Tregarthen et David Raymond composent une véritable ode aux forces invisibles où le mystère le dispute à la fantaisie.
Après The Gyre, duo hypnotique et tourbillonnant présenté la saison dernière, Angela Rabaglio et Micaël Florentz poursuivent leur ambition de questionner la matière en perpétuelle agitation, les corps en mouvement et les territoires qu’ils occupent.
Cette fois, cinq interprètes en scène pour incarner la foule, ses réflexes inconscients, ses synchronisations involontaires, son imprévisibilité, sa métamorphose permanente et son animalité.
Dans A Very Eye, rythmes, regards, accroches, trajectoires et interactions diverses se tressent et se défont. Les danseurs et danseuses recréent les souffles communs qui guident et déterminent les comportements collectifs des humains en mouvement, tout comme ceux à l’œuvre dans le vivant.
04. October – 08. October
Après The Gyre, duo hypnotique et tourbillonnant présenté la saison dernière, Angela Rabaglio et Micaël Florentz poursuivent leur ambition de questionner la matière en perpétuelle agitation, les corps en mouvement et les territoires qu’ils occupent.
Cette fois, cinq interprètes en scène pour incarner la foule, ses réflexes inconscients, ses synchronisations involontaires, son imprévisibilité, sa métamorphose permanente et son animalité.
Dans A Very Eye, rythmes, regards, accroches, trajectoires et interactions diverses se tressent et se défont. Les danseurs et danseuses recréent les souffles communs qui guident et déterminent les comportements collectifs des humains en mouvement, tout comme ceux à l’œuvre dans le vivant.